Livre d'or

" Pour moi qui suis parisienne, le livre de Philippe Mariou est rafraichissant car il m'a fait voyager dans une partie du Sud de la France, peu connue, loin des flux touristiques.
 Il m'a permis aussi de voyager dans le temps car il évoque la vie de plusieurs générations du 20ème siècle. Pas seulement la vie quotidienne, mais aussi les évènements historiques tragiques des guerres de ce siècle, l'imaginaire personnel de l'auteur mais aussi collectif d'un village.
 Les photos qui accompagnent le récit, outre qu'elles sont de très bonne qualité technique et esthétique, sont très émouvantes.
L'écriture est rigoureuse, notamment dans les descriptions.
A emporter avec soi pour les vacances qui approchent ou les week-ends à la campagne..."
 
Michèle LEPEUVE, Paris, 17 mai 2012
 
 
"Souvenirs d'enfance, récits entendus dans le village, confidences de famille, songeries, le texte de Philippe Mariou éveille en nous nos propres souvenirs d'un village ayant existé ou imaginaire. Au-delà des faits ou des opinions, l'auteur aura fait chanter en nous la petite musique du passé."
 
Rémi SEVOZ,  Paris, 28 mai 2012

 

Super blog et très envie de rentrer dans l'univers de votre livre .


J'ai visité votre blog, blog très intéressant, et qqs bribes du livre qui donne très envie d'en savoir plus, bref, d'acheter ce bouquin et d'aller plus loin, de tout lire jusqu'au bout.

 

Amicalement,

 

Chantal CAMBE, Carcassonne

 

 

 

Histoires de gens simples et heureux des années 60, fictives ou réelles, mélées de souvenirs personnels.

Voilà un livre qui mérite d'être connu avec ses histoires et ses belles illustrations que vous pouvez savourer tranquillement ou dévorer en une seule soirée.
Merci, Philippe,de nous faire revivre ces évènements qui ont marqué la vie de nos parents et par la même occasion notre enfance.

 

Colette ANDURAND, Caussade

 

 

 

 

On peut piocher d’une main légère dans l’une de ces « Chroniques d’une France qui s’en va » et en sortir un fragment de passé pour revivre le fil des jours révolus, entre douce nostalgie et vérité plus crue.  En effet, l’auteur nous berce de sa langue riche et précise en brouillant la limite entre fiction et documentaire, entre autobiographie et invention romanesque. Nous sommes partout, dans cette France éternelle, et nulle part à la fois, dans un pays fantasmé et transposé par le prisme du regard créateur.

Mais peu importe, reste le vif plaisir de naviguer dans cette galerie de personnages tour à tour cocasses, charismatiques et même tragiques (surtout pour la chute, la dernière chronique très forte en tension dramatique), de voyager dans les vestiges de notre hexagone, de remuer les cendres toujours chaudes de nos traditions immortelles…

Grâce à ces chroniques «  la France qui s’en va », par la magie propre à la littérature, revient et revit !

Une plume prometteuse que celle de Philippe Mariou dont on attend une prochaine production avec impatience, peut-être encore plus romanesque, avec une histoire plus tenue.

 

A suivre !

 

Baptiste MINJAT, Montpellier

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